La petite maison solitaire offre au regard son visage fermé, elle semble dormir.
Le soir pourtant on peut voir à la fenètre une lueur qui vacille, celle d'une flamme agonisante.
Refuge ou havre de paix ? Je ne sais...
Tout autour et dans l'air flottent les parfums mélangés du sel, du romarin et du thym.